Paradoxe.
« Nous vivons dans un paradoxe. D’un côté, on a des forces de recherche dans le développement durable, et des formations sur l’énergétique de l’habitat. D’un autre côté, nos bâtiments sont à rebours de ce que nous professons », relève, le 16, Bertrand Monthubert, président de l’université Toulouse III-Paul Sabatier.
