Midi-Pyrénées

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LRMP : à quoi servent les signes de qualité

À l’heure où le consom­ma­teur se sou­cie de plus en plus de qu’il a dans son as­siette, aussi bien en termes de qua­lité que de sé­cu­rité ali­men­taire, les pro­fes­sion­nels de l’agroa­li­men­taire et de l’agri­cul­ture veulent mon­trer patte blanche via des signes de qua­lité, faire-va­loir leur pro­duit, leur sa­voir-faire et jus­ti­fier leur prix. IGP, AOC (AOP au ni­veau eu­ro­péen), STG, Label Rouge, agri­cul­ture bio­lo­gique… au­tant de dé­no­mi­na­tions uti­li­sées par les pro­fes­sion­nels mais pas tou­jours bien maî­tri­sées par le consom­ma­teur.

Irqualim.

Une AG extraordinaire de l’Institut régional de la qualité alimentaire de Midi-Pyrénées (Irqualim) est prévue le 11 décembre. À l’ordre du jour : l’extension de l’Irqualim à la grande région. Avec un nombre comparable de produits sous signe d’identification de qualité et d’origine (250 Siqo au total) dans des secteurs complémentaires et aucun organisme comparable à l’Irqualim en LR, cette extension paraît naturelle. Reste le problème des marques.

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