
C’est désormais officiel : Toulouse a été retenue le 3 avril par le gouvernement comme l’une des 13 Capitales French Tech, aux côtés, notamment, de French Tech Méditerranée (président : Frédéric Salles, PDG de Matooma), qui fédère un territoire élargi couvrant le Gard, l'Hérault et le sud-Aveyron. Dans la Ville rose, l’initiative – qui rassemble 220 start-up locales - est portée par l’association French Tech Toulouse, présidée par Sandrine Jullien-Rouquié, fondatrice de la société Ludilabel (étiquettes innovantes pour les vêtements des enfants). Les autres membres de l’association : Karim Ben Dhia (Adveez), Marc Leverger (Brico Privé), Christian Bec (Syntony), Thibault de Bouville (Delair), Nicolas Cristi (Sunibrain), Cedric Giorgi (Sigfox), Cécile Morel (Cenareo) et Carole Zisa-Garat (Telegrafik). Les French Tech Perpignan, French Tech Pyrénées-Adour, French Tech Gard et French Tech Montpellier-Hérault sont quant à elles identifiées comme Communautés French Tech.
La Mission French Tech, destinée à accompagner les start-up françaises innovantes, entre ainsi dans une 2e phase. Exit les « Hubs » internationaux et les « Métropoles » French Tech pilotées par les collectivités : désormais, ce sont les startuppeurs eux-mêmes qui prennent en main la gouvernance, avec la mise en place de « Communautés French Tech » et de « Capitales French Tech ».