Remplacé à la présidence de Toulouse INP par Catherine Xuereb, Olivier Simonin, qui occupait ce poste depuis 2012, évoque ses projets pour La Lettre M : «Grâce aux collaborations que j'ai eu la chance de poursuivre durant mes deux mandats de président, principalement avec mes collègues de l'IMFT, mais également avec des partenaires académiques régionaux (LGC, Promes, Laplace), des organismes de recherche (Onera, INRS, IFPEN, CEA) ou des industriels (EDF, Total, ArcelorMittal...), je n'ai pas complètement perdu pied dans le domaine de la recherche et de la valorisation, et j'ai aujourd'hui comme priorité de reprendre pleinement cet activité. » Et d'ajouter : « Mon domaine de recherche concerne la modélisation mathématique et la simulation numérique haute performance des écoulements réactifs fluide-particules, avec comme champs d'application le transport, l'énergie, le génie des procédés, mais aussi la santé et l'environnement. Je suis aussi particulièrement intéressé par travailler sur les nouveaux champs scientifiques ouverts dans ces domaines par le développement de l'utilisation de l'hydrogène ou des nouvelles approches de traitement massif de données. » Toulouse INP regroupe six écoles d’ingénieurs dans les domaines de la technologie et des sciences du vivant, soit 6 600 étudiants, 670 enseignants-chercheurs et 750 personnels administratifs, dans un campus de 216 000 m2.
