Jean-Louis Cazaubon, Irqualim

25/05/2021

Créé en 1992 pour promouvoir en région les signes officiels d'identification de la qualité et de l'origine (Siqo), l’Institut régional de la qualité agroalimentaire (Irqualim, implanté à Toulouse et Montpellier) entre en résistance contre le Nutri-Score, que souhaite rendre obligatoire la Commission européenne d’ici à 2022. Aujourd’hui facultative, l'apposition de ce logo, basé sur une échelle de A à E, vise à informer le consommateur sur la qualité nutritionnelle des aliments. « Nos produits sous Siqo ne peuvent entrer dans ce type de notation ultra-simpliste qui ne prend pas en compte le niveau de transformation du produit, s’agace Jean Louis Cazaubon, président de l’Irqualim. Nous en demandons l’exemption. » Bruxelles souhaitant interdire la publicité des produits mal classés, toute une économie pourrait être demain menacée, estime l'Irqualim.

Photo © Laurent Boutonnet

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